Février 1985, une journée chez Paul Gillon à Ignaucourt, en compagnie de Claudius Puskas…
Je suis encore ému par l’accueil que lui et son épouse nous réserve, par tant de gentillesse et de simplicité pour les deux petits suisses qu’il est venu chercher à la gare d’Amiens.
Nous passerons un long moment dans son atelier où nous réaliserons un entretien pour le n° 2/3 de Champagne !, après avoir partagé un repas.